Un bon leader tu seras : 6 secrets dévoilés

Leader

6 secrets pour être un bon leader tirés du best seller “Réfléchissez et devenez riche” de Napoléon Hill

 

20 années de recherche. 20 années de sacrifice. 20 années de persévérance. Voilà ce que l’on saisit en tenant « Réfléchissez et devenez riche ». Sous l’impulsion d’Andrew Carnegie (un industriel de l’acier aux États-Unis et accessoirement l’homme le plus riche au monde de l’époque), le jeune  Napoléon HILL, alors journaliste désargenté, accepte une mission un peu farfelue : découvrir le point commun entre les grandes fortunes de  son temps, sans prendre un sou. De ces quelques centaines d’entretiens avec des millionnaires, il a su tirer la quintessence de leur réussite, la substantifique moelle de leur succès. Cet ouvrage de 1938 est loin d’être poussiéreux. Best-seller vendu à plus de 100 000 000 d’exemplaires, il n’a pas pris une ride et recèle des secrets que tout bon leader doit intégrer.

 

Montrer l’exemple

On ne croit que ce que l’on ne voit. Cet adage a la dent dure. Et c’est d’autant plus vrai dans une relation responsable – subordonné. Seule une personnalité irréprochable va inspirer le respect. L’habitude d’en faire plus que les autres, va pousser les subordonnés à en faire autant. Mais surtout installer le respect par cette preuve par l’exemple.

 

« Je suis maître de moi comme de l’univers »

Retrouve-t-on dans la bouche d’Auguste chez Corneille. C’est une vérité intangible que l’on apprend par-là : Celui qui n’est pas capable de se maîtriser ne pourra jamais maîtriser les autres.

 

L’esprit d’équipe, l’épreuve reine

Seul on va vite, mais ensemble on va loin. Un patron, pour réussir, doit comprendre et appliquer le principe de l’effort commun, être capable d’obtenir de ses subordonner qu’ils fassent de même. La direction appelle le pouvoir, et le pouvoir demande la coopération.

 

Vision, visualisation, perception, conception

Le bon dirigeant voit loin, ce qui lui permet de planifier son travail et travailler son plan. Marcher à l’aveuglette, suivre un plan imprécis et difficile à exécuter, c’est courir à la catastrophe. D’où l’importance d’écrire sa vision.

 

L’odeur de la peur…

La dégager est le meilleur moyen de perdre en crédibilité. Non pas que cela soit un signe de faiblesse, mais une preuve que le jugement, le discernement sont aveuglés par un sentiment annihilant quand il n’est pas maîtrisé. Un leader peut éprouver de la peur, mais il doit l’assujettir pour en faire un moteur pour diriger les autres avec succès.

 

La victoire a mille pères quand la défaite est orpheline

Être responsable de ses erreurs et les assumer est une chose. En faire autant pour celles de ses subordonnés en est une autre.

 

La liste est loin d’être exhaustive. Difficile de résumer 190 pages en quelques lignes. L’enseignement premier que je retire de ce livre est qu’il est possible de transformer ses désirs en réalité. Que la pensée a un pouvoir performatif, elle permet de réaliser ce qui est énoncé au même titre que la parole du maire qui déclare deux être unis par les liens sacrés du mariage par ces mots : je vous déclare mari et femme. D’où la nécessité de ne se nourrir que de pensées positives. Quand bien même l’échec pourrait subvenir, il est dans bien des cas une condition sine qua none pour atteindre le succès. Et je finirai en disant : « Si vous ne savez pas contrôler vos peurs, alors vos peurs vous contrôleront »
Photo Rebbie Mapama
Rebbie Mapama
Chroniqueuse
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